Ensuite je me suis approchée d’elle, elle était paralysée par la peur, je l’ai saisit brutalement, lui ai donné un violent coup de griffe pour écorcher sa peau douce et ai commencé à la dépecer. Une fois toute la peau enlevée, je l’ai coupé en deux, lui ai arraché ses boyaux et je l’ai mangé, morceaux par morceaux, jusqu’à ce qu’il ne reste que ses lambeaux de peau que je me suis empressée de jeter pour détruire la moindre trace de mon méfait…
Ça y est, j’ai eu ma dose, mes deux proies ont contenté ma traditionnelle faim de ce froid mois de décembre, maintenant pendant toute une année, je vais devoir attendre la prochaine Saint Nicolas pour à nouveau déguster clémentines et manalas !
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