mardi 3 novembre 2009

La Pintade est sur facebook


Premier semestre 2007, je suis à New York et un seul mot est sur toutes les lèvres: Facebook. Par pure curiosité je décide de m'y inscris. L'interface, entièrement en anglais est assez bizarre. Je remplie mon profil et constate qu'aucun de mes amis n'est sur inscrit sur le site; à cette, le mode des réseaux sociaux est gouverné par Myspace et les Facebookeurs européens se font encore rare. Bref, une fois mon compte créé, je l'oublie aussitôt en le laissant quelque part dans la sphère des comptes laissé à l'abandon par leurs auteurs.

De retour en France au début de l'été, je constate que tout le monde est sur Myspace. Je m'y inscris et consacre beaucoup de temps et d'énergie pour créer un design qui me plait (à l'époque il fallait savoir manier le html pour modifier l'apparence de son profil).

Mais après quelques semaines, je me détache de Myspace. En effet, la profusion d'applications disponibles (musique, photo...) fait fuir les internautes vers Facebook qui vient tout juste de lancer sa version
française et qui est considéré comme beaucoup plus light. Quelques semaines après la rentrée, je me rebranche sur mon compte Facebook. Depuis ma dernière visite, mes amis se sont inscrit. Je rattrape doucement le retard acquis au cours des derniers mois écouler;
une centaine d'application cause, de test et autres facebookeries en tous genres après, je commence à vraiment prendre plaisir à dialoguer, commenter, statuer.

Aujourd'hui les gens reprochent à Facebook d'être trop fourni et se tournent vers Twitter pour la simplicité de son interface. Sans grande conviction, je suis le mouvement. Mais comme pour facebook, aussitôt créer, aussitôt oublier (j'exagère quand même, j'y vais bien une fois par mois).


Facebook est déjà has been à ce qu'il parait. Tant pis, j'y suis, j'y reste!

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